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Né en 1977, vit et travaille à Paris.
En savoir plus :
Simon Quéheillard
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Né en 1977, Simon Quéheillard obtient un DNSEP en 2001 à L‘Ecole des Beaux-arts de Bordeaux (où il suit un enseignement dans l’atelier du poète Emmanuel Hocquard). En 2006, a lieu sa première exposition personnelle à la galerie Frédéric Giroux, à Paris. Elle s’intitule L’image dans le papier. En 2008, il publie son livre L’image dans le papier (titre qu’il emprunte à sa précédente exposition). Il s’agit d’une série de notes fragmentaires sur la question de l’image, édité aux Éditions MIX (avec le concours du CNL), après sa rencontre avec le philosophe et éditeur, Fabien Vallos. En 2012, L’Espace Khiasma présente différents travaux photographiques, filmiques et littéraires de l’artiste, lors de son exposition ma plaque sensible (commissariat Olivier Marboeuf). En 2014, son film Maître-vent est sélectionné au Festival Images de Toronto, et reçoit le Prix du public au Chicago Underground film festival. La même année il expose à la galerie des Filles du calvaire, à Paris. En 2015, son œuvre Pour Olivier Moana Paul entre dans les collections du FNAC (Fonds National d’art Contemporain). En 2016, son film De commencements en commencements (Spectre Productions), est présenté sur les écrans parallèles du FID Marseille, ainsi qu’à la FIAC de Paris (Cinéphémère). En 2017, il expose à la galerie Martine Aboucaya, à Paris. En 2019, a lieu son exposition monographique intitulée Tout me va, à la galerie Silicone, à Bordeaux. En 2020, paraît son second livre Un grand monde pâle, ébauché, dans l’anthologie Triages, des Éditions Tarabuste. Il s’agit d’une suite de poèmes en prose sur ce qu’il nomme « le fond latent de la
perception ». Son dernier film, Une embuscade en suspens, est commandité par La Forêt d’Art Contemporain, à l’invitation du commissaire d’exposition Jean-François Dumont.
Né en 1977, vit et travaille à Paris.
En savoir plus :
Simon Quéheillard
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Né en 1977, Simon Quéheillard obtient un DNSEP en 2001 à L‘Ecole des Beaux-arts de Bordeaux (où il suit un enseignement dans l’atelier du poète Emmanuel Hocquard). En 2006, a lieu sa première exposition personnelle à la galerie Frédéric Giroux, à Paris. Elle s’intitule L’image dans le papier. En 2008, il publie son livre L’image dans le papier (titre qu’il emprunte à sa précédente exposition). Il s’agit d’une série de notes fragmentaires sur la question de l’image, édité aux Éditions MIX (avec le concours du CNL), après sa rencontre avec le philosophe et éditeur, Fabien Vallos. En 2012, L’Espace Khiasma présente différents travaux photographiques, filmiques et littéraires de l’artiste, lors de son exposition ma plaque sensible (commissariat Olivier Marboeuf). En 2014, son film Maître-vent est sélectionné au Festival Images de Toronto, et reçoit le Prix du public au Chicago Underground film festival. La même année il expose à la galerie des Filles du calvaire, à Paris. En 2015, son œuvre Pour Olivier Moana Paul entre dans les collections du FNAC (Fonds National d’art Contemporain). En 2016, son film De commencements en commencements (Spectre Productions), est présenté sur les écrans parallèles du FID Marseille, ainsi qu’à la FIAC de Paris (Cinéphémère). En 2017, il expose à la galerie Martine Aboucaya, à Paris. En 2019, a lieu son exposition monographique intitulée Tout me va, à la galerie Silicone, à Bordeaux. En 2020, paraît son second livre Un grand monde pâle, ébauché, dans l’anthologie Triages, des Éditions Tarabuste. Il s’agit d’une suite de poèmes en prose sur ce qu’il nomme « le fond latent de la
perception ». Son dernier film, Une embuscade en suspens, est commandité par La Forêt d’Art Contemporain, à l’invitation du commissaire d’exposition Jean-François Dumont.
projet présenté sur la page artistes :
Quinze flaques sur ma table
2005, photographie